Quel jour était-on ? Elle ne savait pas et ce n’était pas un problème, les cours n’avaient pour le moment pas reprit. L’heure ? Elle ne savait pas non plus. Actuellement la demoiselle était occupée. Nul ne voulait la déranger dans se moment de grand calme. Ses grands parents préférèrent qu’elle fasse ça au lieu de sortit taper des gens pour se défouler. Bon… Certaines choses pouvaient être inévitable. Mais pour le moment elle ne c’était pas encore faite attraper. Enfin… Occupée à quoi vous allez me dire ? Pour revenir sur son activité actuelle, c’était le nettoyage de ses répliques. La plus part avaient appartenu à son défunt père. Et il faut dire qu’Ayako en prenait le plus grand soin. Minutieuse dans le nettoyage, dans chaque détail du démontage et remontage, c’était fait avec une précision impressionnante. Certes on voudrait bien la voir comme ça en cour non ? Bref.
Très appliquée, elle eut finit de remonter ses répliques. Ce fut en ouvrant le volet de sa chambre qu’elle comprit que la nuit était passée. Effectivement, elle n’avait que peu dormis. En vérité elle devait avoir environ quatre heures voir cinq de sommeil en elle. Des fois cela lui arrivait comme là de s’éveiller très tôt pour s’occuper de ses affaires. Allant prendre de quoi s’habiller après sa douche, Ayako allait sûrement sortir, mais elle n’avait pas encore d’idées de quoi faire. Ce fut après sa douche qu’elle prit un truc à déjeuner, ses grands parents lui avaient préparés de quoi manger. Après tout, elle n’avait plus qu’eux. Enfin… Vétu de basket noir tout comme son short et d’un t-shirt couleur kaki. Ayako n’avait pas envie de trop se couvrir, la flemme ? Non. Car les activités physiques pouvaient être important. Déjeunant copieusement, cela pouvait faire rager certaines personnes ! Oui car elle ne prenait pas un gramme. Peut être dû à des dépenses physique équivalent ce qu’elle pouvait consommer ? Oui ! C’était bien cela.
C’était une fois fin prête que quelqu’un vint à matraquer la porte, bon ça va c’était pas n’importe qui, Haiko. Le premier réflexe tout en avançant vers la porte fut de regarder sur son téléphone si elle avait eut des messages. Mais non pas le moindre. Haiko devait faire partie des rares personnes à avoir son numéro. Alors pourquoi n’avait-elle pas envoyée un message ? L’explication fut simple pour Ayako. Elle avait dû trouver quelque chose. Enfin, les grands parents n’eurent pas à bouger.
« J’y vais, à plus tard. »
Ses grands parents lui firent un signe approbatif. Ce fut donc avec délicatesse qu’elle ouvrit la porte et posa son regard sur Haiko.
« Yo, j’ai même pas vue l’heure… »
Elle dû bailler entre temps, effectivement Cinq heures de sommeil au grand max. Chez elle ça pouvait ne pas se voir vraiment, question d’habitude ? Pas vraiment. Souriant légèrement à sa camarade elle n’eut qu’une simple chose à dire ensuite.
« T’as un énorme plan j’imagine ! »
Fermant derrière elle, elle n’avait plus qu’à la suivre, Ayako se posa la question de savoir ce qu’elles allaient faire et de comment cela pouvait tourner. Tant qu’il n’y a pas de feu…